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    Le témoignage est intéressant mais j'ai toujours l'impression que ça vend beaucoup trop de rêve par rapport à la réalité : 1/ Il faut être très compétent 2/ Il faut avoir l'opportunité 3/ Il faut avoir la mise de départ et aimer la solitude du codeur 4/ On parle pas de ceux pour qui ça se passe mal et qui y perdent toutes leurs économies (voire leur santé)

    Bref beaucoup de gens qui veulent mais peu d'élus, les startups ça pousse toujours pas sous les cocotiers lol. C'est beaucoup de boulot et de sacrifices.

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      Je suis assez d'accord avec ce commentaire, mais si personne ne témoigne en ce sens, d'autres ne se diront pas que cela est possible. Je pense que le plus difficile est d'avoir l'opportunité… Va te faire embaucher dans une de ces sociétés, ou même créer la tienne pour vivre de cette manière… Pas évident !

      Dans tous les cas, le témoignage n'en reste pas moins intéressant, et me laisse quelque peu rêveur :-)

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        Idem :)

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        oui, évidemment ça vend pas mal de rêve, mais il est certain que le télétravail “au long cours”, où les télétravailleurs se déplacent carrément dans d'autres pays, se développent fortement, avec les classements type “quelles sont les villes les plus accueillantes pour les tétravailleurs expatriés”.

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        Article intéressant, vivement la deuxième partie (qui est déjà présente sur le site en fait… !) :-)

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          La même infographie a été publiée sur ce site il y a moins d'une semaine !

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            Si seulement il n'y avait que ce concept de cloud à la mode en ce moment… :-(

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              Je trouve que l'auteur en fait un peu trop dans son article. Pour moi, l'auto-hébergement est plus une passion qu'autre chose, cela ne me dérange pas de passer quelques heures à débugger un serveur web, mail ou XMPP, parce que j'en ai l'utilité et que j'aime ça. Pareil d'un point de vue financier, les quelques Raspberry achetés ont été largement investis depuis le temps, et ce n'est pas les quelques 10 € annuels en électricité qui vont me perdre.

              Alors oui, après, l'auto-hébergement reste un énorme travail, d'autant plus si on tient à se mettre à jour et à couvrir les principaux risques de sécurité. Mais si on est passionné, qu'on a un peu de bon sens et qu'on sait taper trois mots-clés dans un moteur de recherche, la plupart des problèmes rencontrés se résolvent sans grande difficulté.

              Je suis donc relativement d'accord avec ce que dit l'auteur, sans toutefois mettre le doigt sur ce qui me déplait vraiment dans cet écrit. Dans tous les cas, l'auto-hébergement reste un choix. Si on se sent motivé pour apprendre et que maintenir les services à mettre en place ne nous fait pas peur, on a facilement accès à toutes les informations nécessaires pour se lancer. Si non, on peut toujours choisir une autre solution.

              L'auto-hébergement, ce n'est pas de l'élitisme, c'est avant tout un choix :-)

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                Suite au commentaire de la semaine dernière : j'ai réussi à installer ma version d'OpenBSD, en dual-boot avec mon ancien ArchLinux. Les deux sont sur leur partition chiffrée et cohabitent par le biais de GRUB2 en EFI. Assez fier de ma manip, il faut maintenant que j’approfondisse OpenBSD pour m'en servir de manière quotidienne. :-)

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                  De mon côté, lectures de plusieurs articles concernant OpenBSD pour envisager une migration très prochaine sur mon ordinateur portable. J'ai encore quelques doutes concernant 2-3 choses, il faut encore que je finalise ma clé bootable, mais ça avance doucement. Hâte de tester les environnements BSD :-)