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  1. 2

    Excellent, merci !

    1. 1

      Comment vous avez fait pour ne pas parler du coût du stockage qui rend ainsi toutes vos affirmations types

      Avec une réduction des coûts de 50% par rapport à S3 Standard

      totalement caduques ?

      1. 1

        Merci ache pour ton commentaire :) (enfin une personne constructive).

        S3 Express est bien plus cher sur le stockage mais 50% moins cher sur les requêtes.

        Prenons pour exemple le cas d’une entreprise ayant un datalake de 500 Go de données avec un volume de 100 Millions de requêtes GET et SELECT mensuel et 100 Millions de requêtes POST, PUT et LIST mensuel.

        Avec les tarifs fournis par AWS pour le stockage S3 dans la région US East (N. Virginia) on constate rapidement que le prix du stockage est mutiplié par x7 alors que le coût pour 1,000 requêtes est seulement divisé par /2.

        Approfondissons maintenant notre scénario de départ, nous obtenons les calculs suivants :

        • Avec S3 Standard, la facture mensuelle de stockage s’élève à $11,5, auxquels s’ajoutent $540 pour les requêtes, totalisant $551,5.
        • Pour S3 Express One Zone, le coût mensuel de stockage atteint $80, et les frais de requêtes se montent à $270, donnant un total de $350.

        Dans ce scénario l’intérêt financier est uniquement pour des applications gourmandes en données — accès fréquent. Toutefois, pour les usages moins centrés sur les accès fréquent aux données, le supplément lié au stockage pourrait s’avérer contre-productif. Dans ce cas, s’orienter vers une solution comme S3 Standard, voire Standard - Infrequent Access serait plus judicieux.

        En faisant cette réponse, j’en ai profité pour éditer l’article pour ajouter cet exemple et clarifier ce point qui en avait besoin.

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          Hmmm mais à ce tarif là, ça revient pas vraiment beaucoup moins cher de juste louer un serveur dédié ?

          1. 1

            Ok, intéressant, c’est un cas d’usage que je ne rencontre pas souvent.

            Mais qu’en est-t-il de la bande passante ? Toujours au même coût si je comprends bien.

            Donc, S3 Express est adapté aux données de petite taille avec accès très fréquents uniquement ? Mais du coup, un Redis ou MemoryDB ne serait pas plus intéressant ?

        1. 2

          On croirait une pub écrite par une IA…

          1. 2

            Comme tout le site… ;) Étrange cette boîte apparue depuis quelques mois et qui ne semble proposer que du vent. Des trentenaires désœuvrés ?

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              Je te remercie … Mon enthousiasme pour ce produit est réel, rien d’artificiel. Il est souvent facile de critiquer AWS, mais je suis curieux de découvrir quelles autres entreprises offrent une technologie similaire. Avez-vous des suggestions?

              De mon point de vue, AWS est une fois de plus en train de poser les jalons pour ce qui deviendra probablement un standard que d’autres s’empresseront de suivre/imiter.

              1. 2

                Cela me rappelle le discours des thuriféraires d’Apple. Mot pour mot.

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              Les cookies ne sont qu’une partie de la conformité au RGPD d’un site web. Si :

              • ton site est hébergé par une entité US
              • tu utilises des cdn aux US
              • tu as une ressource chargée sur ton site dont le serveur est aux US

              … et bien tu es en infraction.

              1. 3

                Du coup si je comprends bien, dès lors qu’on se connecte à un wifi public, les protections de type TLS/SSL ne s’applique plus. Dans ce cas en quoi ajouter un VPN se basant sur les mêmes protocoles ajoute de la sécurité ? À moins que les VPN ne se basent pas sur TLS/SSL ? C’est possible d’expliciter la phrase «En conséquence, ils peuvent facilement accéder à toutes vos données lorsqu’elles passent par leur ordinateur.» ?

                1. 1

                  L’aspect sécurité de l’article et effectivement très difficilement compréhensible. Pour moi c’est juste du verbiage sans aucun argumentaire technique. Et non les vilains pirates (de l’air) ne vont pas réussir à déchiffrer les flux HTTPS ;)

                  1. 1

                    Cet article ne contient pas de détails techniques, il s’agit simplement d’une approche “grand public” visant à sensibiliser le public. Logiquement une connexion TLS/SSL assure une certaine sécurité, mais reste loin d’être inviolable (cf les attaques SSL/TLS : https://korben.info/les-attaques-ssltls.html).

                    1. 1

                      Ces attaques que tu cites peuvent être menées sans avoir besoin d’un wifi public. Connecté à son wifi domestique (ou même via Ethernet :O ) on est tout autant vulnérable… Pour moi il s’agit de désinformation, un wifi public n’est pas extrêmement plus dangereux qu’un autre. Il peut être le vecteur d’attaques dans le cadre de connexions non sécurisés (en HTTP) ou également dans le cadre d’attaques plus sophistiquées (phishing ou Man in the middle) mais dans ce cas par exemple le certificat TLS présenté par le navigateur ne correspond pas et il demande la mise en place d’une exception (qu’il ne faut évidemment pas donner).

                      Mais dire que se connecter à son site bancaire (sur le bon nom de domaine, en HTTPS, authentifié etc) via un wifi public est dangereux et qu’un vilain pirate va voler nos credentials, c’est juste faux. Si c’était le cas, on serait tout aussi vulnérable dans notre salon sur notre wifi domestique.

                      Et pour finir, dire qu’ajouter un VPN permet de sécuriser une connexion via un wifi public, c’est bien pour les pubs NordVPN sur Youtube, mais pour un public technique et averti ça marche pas

                      1. 1

                        Merci pour ton retour constructif (et merci d’avoir pris le temps de l’écrire). J’ai tendance à trop simplifier, car la majorité des lecteurs du blog ne sont pas des techniciens. Ton commentaire m’a permis de revoir ma copie, en espérant que cette version réécrite sera moins de la “désinformation”.

                1. 1

                  Il a été rédigé par ChatGPT cet article ? Il est rempli d’absurdités.

                  1. 1

                    haha la nouvelle vanne :D

                    1. 1

                      le pire c’est que j’en suis à douter… ça par exemple ça ne veut rien dire :

                      Cependant, étant donné qu’il n’y a pratiquement pas d’obstacles au-dessus d’un pylône, à l’exception des nuages, il est facile d’atteindre la hauteur de vol standard de 10 à 13 km pour les compagnies aériennes commerciales. Cela permet aux avions d’utiliser une connexion satellite pour fournir un accès Wi-Fi en vol sans interruption, ce qui est devenu une norme pour de nombreuses compagnies aériennes ces dernières années.

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                        J’ai reformulé : “Cependant, étant donné qu’il n’y a pratiquement pas d’obstacles au-dessus d’un pylône, à l’exception des nuages, il est facile pour un vol standard d’atteindre les fréquences à des hauteurs de 10 à 13 km. Cela permet aux avions d’utiliser une connexion terrestre dans la majorité des cas et de compléter avec une connexion satellite pour fournir un accès Wi-Fi en vol sans interruption.”

                        Merci :)

                    2. 1

                      Je crains que ChatGPT n’écrive mieux que moi … Pour les absurdités, je suis preneur, l’article sera amélioré.

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                      L’article n’est pas forcément facile à composer, je pense que certaines significations sont inexactes. D’une part, les distinctions entre les choses. Le terme « métadonnée » est reconnu par le dictionnaire Le Petit Robert (2014) comme étant « apparu » en 1997 (INFORM.) et n’a qu’un sens « Donnée formelle, normalisée et structurée, utilisée pour décrire et traiter le contenu des ressources numériques ». Confusions par similitude entre information et métadonnée pouvant amener à une représentation peu pertinente, comme le montre l’usage d’expressions telles que « monde anologique », « objets de données virtuel », « méta-information » ; ou encore l’assimilation entre ce qui est désigné et signifé : « données primaires » (bizarre, comme formulation) et une base de données, en référence à l’organisation d’une bibliothèque. L’ensemble étant plus ou moins contrebalancé ensuite, à partir de la section « Exemple de métadonnées ». En fait, je pense que le parallèle aurait dû être fait un autre sens. Une métadonnée c’est une donnée qu’on peut traiter, exploiter via des mécanismes automatisés.

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                        Merci pour votre commentaires constructifs, j’ai modifié l’article sur la partie I “Introduction aux métadonnées[…]” en tenant compte de vos retours.

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                        Excellent, un plaisir à lire. Merci !

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                          Pour cet article, je n’ai pas, volontairement, parlé de FloC. Car ce sujet a été abondamment traité ces derniers jours.

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                            Je suis en train de lire “L’art de la supercherie”, écrit par Kevin Mitnick et William L. Simon, publié en 2002. Il traite de l’art de l’ingénierie sociale, principalement par le biais de la téléphonie. Le livre n’est pas tout jeune, néanmoins super intéressant, mais l’article présenté ici était déjà expliqué dans ce bouquin. On peut voir que 19 ans après les risques sont toujours là !

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                              Merci PetitYoda pour la référence du livre (ça part directement dans les prochaines lectures). En effet, il n’y a rien de neuf dans cette article, juste une piqure de rappel à remettre dans le contexte de cette nouvelle exposition de numéros mobiles.