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  1. 1

    Commentaire parodique

    • Yo! Man t’a grave assuré, ça fait le taff. Magnifico.

    • Uptime?

    • Feel good!

    • Reboot de temps à autre… on s’est jamais <:-) sûr.

    Explication du commentaire

    Dommage, l’écriture inclusive ! Dommage, le franglais ! Dommage, ces maladresses !

    1. 3

      “Dommage l’écriture inclusive”… Tu parles de “Bonjour à toutes et à tous” ? o__o

      Concernant le franglais, chaque nouveau terme est expliqué au préalable et il s’agit de termes techniques. Les traduire serait bien plus contreproductif. Malheureusement dans l’informatique et le réseau le vocabulaire technique est en anglais. Faire de la documentation en francisant les termes ne fait que déservir le lecteur qui devra réapprendre les vrais termes lorsqu’il les croisera ailleurs.

      1. 1

        C’est une formulation formelle qui frise le déplorable.

        C’est de la suffisance. J’ai lu de très bon textes sur l’informatique rédigés intégralement en français, avec tous les mots équivalents précisés en anglais. Le franglais c’est du charabia ; on perd littéralement le sens d’origine.

        1. 2

          Le “sens d’origine” quand un mot est une invention anéricaine et qu’il a donc un nom américain, est-ce que lui donner un nom français ne serait pas justement une perte du sens d’origine ?

          C’est marrant comme je suis quasi jamais d’accord avec tes points de vue ^__^

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            C’est trop marrant, en effet.

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              Bonjour, J’ai lu l’article par curiosité, et je le trouve bien: les notions sont bien expliquées et les schémas sont bien faits et aident à la compréhension (d’ailleurs si quelqu’un sait quel logiciel a été utilisé je suis preneur). Quand on bosse dans un domaine, on apprend son langage. En informatique, beaucoup de termes sont anglais, et l’anglais est incontournable dans ce domaine, notamment pour faire des recherches efficaces. Le franglais est donc tout à fait normal. Quant au lien sur le marketing, on ne peut pas leur reprocher leur langage. Une compilation des phrases pleines de mots anglais fait effectivement sourire (enfin c’est plutôt leur incapacité à expliquer clairement les notions associées qui me fait sourire), mais ce ne sont que des termes techniques qui sont compris par l’ensemble des gens qui bossent dans ce domaine. Utiliser les équivalents français (si seulement ils existent…) c’est rendre les discussions difficiles entre les gens de ce domaine.

              1. 1

                Plaît-il ? Quant est-il du bilinguisme ? Je suis autodidacte. Je lis en anglais et en français. Mon domaine de prédilection, c’est l’informatique. Je n’ai pas de difficultés particulières pour rechercher des informations sur le Web. Sans une maîtrise suffisante du français, il m’aurait été impossible de progresser. On retrouve bien votre état d’esprit en France dans le domaine social. Sur France Term, je ne trouve pas la terminologie dont j’ai crucialement besoin. Mais il s’avère souvent que les termes recherchés figurent dans le grand dictionnaire terminologique de l’office québécois de la langue française. D’ailleurs, je donne la primauté à des ouvrages écrit en anglais, suite à des déceptions mais également par nécessité. Force est de constater qu’en suivant votre mentalité, ma perception des choses n’aurait jamais évolué. Accepter du charabia, très peu pour moi.

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                  Merci ^^ Le logiciel se nomme Good Notes 6 sur iPad et 45 h de travail :D

                  1. 1

                    Ok, je pensais pas que ça demanderait autant de temps! Je pensais qu’en quelques heures ce serait fait. Je commence à me dire qu’un logiciel pour faire des jolis schémas sans trop y passer de temps ça n’existe pas :/

                    1. 1

                      Disons que pour les 70 images de l’article. 120 ont été dessiné qui ont demandé de créer des symboles puis les schémas qui en découlent. Schémas qui ont été redessinés au moins 2 fois, 3 fois pour certains. le tout combiné en parallèle, sur une recherche documentaire de 3 semaines environ ^^

            2. 2

              Bonjour merci de votre lecture. Lorsque l’on réalise une recherche sur le sujet une grande partie des résultats seront en anglais. Avoir ces termes permet d’approfondir le sujet. C’est donc sciemment que j’utilise les termes utilisés par la majorité des professionnels c’est-à-dire la version d’origine issue des RFC de la IEEE. J’ai écrit cet article car je ne trouvais pas de version illustrée. Si vous le désirez vous pouvez prendre votre plume et en écrire un en jargon technique français.

              1. 1

                Ce que je déplore on le retrouve régulièrement à l’écrit dans la façon de s’exprimer. Reprendre votre article ferait la démonstration de ce qu’on peut nettement y perdre. Même problématique que la traduction (ou le dessin). À voir !

          2. 2

            Dommage, l’écriture inclusive ! Dommage, le franglais ! Dommage, ces maladresses !

            Dommage l’écriture inclusive ?! Non mais sérieusement ?! Pour un « Bonjour à toutes et à tous » ?!

            Une idéologie qui veut activement « cacher » les femmes et qui s’en cache même plus.

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            Chouette article didactique qui prend l’approche d’expliquer tout ce sur quoi repose les Stream pour en expliquer le fonctionnement. Top :)

            Un petit détail sur la partie où X implémente Copy pour permettre de le réutiliser et éviter le move. En fait, ce n’est pas le compilateur qui décide de faire une copie avant d’effectuer la boucle for, c’est bien la signature de into_iter qui force ce comportement:

            fn into_iter(self) -> Self::IntoIter
            

            La fonction prend self par valeur. Pour une structure implémentant Copy, une copie sera faite, sinon ce sera un move.

            Du coup, l’exemple ne se “désugarise” pas en:

            let x = X { state: 0 };
            
            let x_copy1 = x; // x_copy1 = X { state: 0 } -- copie de x en x_copy1
            let iterator1 = x_copy1.into_iter(); // x_copy1 est consommé par into_iter mais pas x
            for i in iterator1 {
                println!("{i}")
            }
            
            let x_copy2 = x; // x_copy2 = X { state: 0 } -- copie de x en x_copy2
            let iterator2 = x_copy2.into_iter(); // x_copy2 est consommé par into_iter mais pas x
            for i in iterator2 {
                println!("{i}")
            }
            

            Mais plutôt en:

            let x = X { state: 0 };
            
            let iterator1 = x.into_iter(); // x est copié pour l'envoyer à into_iter qui veut consommer self
            for i in iterator1 {
                println!("{i}")
            }
            
            let iterator2 = x.into_iter(); // idem
            for i in iterator2 {
                println!("{i}")
            }
            

            Sinon, bon article. Merci :)

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              Bonjour :)

              Merci de ta lecture. <3

              Oui, j’ai un peu tordu la vérité pour expliquer la recopie du state 0, quitte à un peu travestire le comportement réel.

              Mais tu as raison l’utilisation du terme “desugar” est un abus de langage de ma part ^^’

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              Merci du repost :D

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                1. 1

                  Merci ^^

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                  Un grand merci pour ce partage. Article claire et de très bonne qualité. Je m’appuierai dessus pour expliquer les réseaux à des novices.

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                    Merci beaucoup à toi. <3

                    Un article sur l’encapsulation arrivera dans les prochains mois. Je cherche juste comment l’expliquer sans retomber dans les travers de la manière dont on me l’a expliqué à l’époque xD