Logo journal du hacker middle
  1. 4
  1.  

  2. 1

    Article intéressant. À noter l'excellent Elgg, qui est libre et centralisé.

    Du coup, à part n'engager à rien, est-ce que vous avez une idée de ce que veut dire ce “alternatif” dans le titre de l'article ? “décentralisé” ? “libre” ? “éthique” ? “durable” ? Un peu de tout ça ? Ces mots seraient-ils honteux, trop compliqués ou pas assez vendeurs pour figurer dans le titre ?

    J'aimerais bien, moi que “décentralisé”, “libre”, “éthique” et “durable” deviennent une norme de qualité. Pas “alternatif” qui pudiquement veut tout et rien dire, en faisant appel à un imaginaire méli-mélo aussi flou ratissant les égos depuis les altermondialisant jusqu'aux snob hipsters, d'autant plus que faire appel à cet imaginaire est la meilleure garantie que ces 4 qualités qui me semblent essentielles, comme à vous aussi je pense, restent confidentielles…

    A1, un peu agaçé

    PS: Au passage, un réseau me semble aussi éthique que les membres qui le constituent, voire éventuellement par son usage ou son objectif bien davantage en tout cas que par sa structure technique qui n'est qu'un épiphénomène pour 99.999% des personnes qui y ont un compte.

    1. 1

      Un peu de tout ça ! Et tu le sais bien !

      Je pense qu'en général les médias et sites assez généralistes restent sur des mots simples et une opposition (alternative) à Facebook/Twitter.

      1. 1

        Oui, moi je le sais bien.

        Mais moi, justement, je connais assez pour ne pas avoir besoin de lire cet article pour me faire une opinion. À ceux qui ne sont pas comme moi, justement, il manque une clé de compréhension essentielle de cet article (dont le site d'origine est justement spécialisé dans ce qui est “alternatif”).

        Ce qui est “alternatif” n'est défini que par ce de quoi il est l'alternative. Ce mot exprime l'aveu de celui qui l'emploi de ne pas trouver lui-même assez crédible et impactant des adjectifs qui décriraient positivement ce dont il parle. C'est avant tout le constat d'une impuissance ou d'une paresse qui se nourrit d'une soif “d'autre chose”. Or, cette “soif d'autre chose”:

        • ne permet pas de fédérer, car nous avons tous des attentes potentiellement différentes. Ne pas nommer explicitement permet de ratisser une audience large. C'est une démagogique pute à clic.

        • se nourrit ontologiquement de ce qu'elle prétend combattre.

        Tout ça pour dire que cet article aurait été l'occasion de faire un peu de pédagogie simple et facile sur ce qu'est une “éthique” de la pratique numérique: “libre” donc “décentralisé” donc “durable”.

        Après, comme tu dis, je n'ai qu'à écrire moi-même ^^