Ton contenu est bien écrit. J’aime bien l’esthétique de ton site Web. Par contre, je désapprouve l’idée véhiculée sur la philosophie Unix. Cela relève d’une vision utopiste quelque peu passéiste. L’analogie avec la « clé tubulaire, un tournevis et une pince » est incomplète. Ce n’est pas en raccord avec mon expérience. Nombres d’utilisateurs « Unix » avertis sont reluctant à utiliser le Shell comme langage de programmation ou « boîte à outils ». Cette conception a des limites : maîtriser des utilitaires, créer de nouveaux programmes implémentés dans un autre langage (pour ajouter des commandes ou définir des interfaces), connaître plusieurs concepts inhérents à la conception d’un système d’exploitation et tordre un langage de commandes (le Shell) dans tous les sens pour les plus malchanceux. C’est une vision illustre des choses mais déplorable qui est érigée en mantra et qui contrevient au bon sens.
« Développer avec Bash ? Impossible, ce n’est pas un véritable langage de programmation ! Et ce genre de scripts sont bien trop fragiles ! » Voilà des idées reçues sur l’un des plus célèbres interpréteurs Shell que nous allons tenter, aujourd’hui, dans cet article, de faire disparaître pour de bon !
[…]
« L’interpréteur Shell a de nombreuses fonctionnalités permettant de le rendre aussi robuste et fiable qu’un programme réalisé à l’aide de soi-disant [langages] plus évolués tels que Python ou Java, il suffit d’en avoir conscience et de les utiliser à bon escient. »
Voici la conclusion de ChatGPT 5 nano :
L’affirmation est trop générale et peut être trompeuse. Le shell peut être robuste dans des cadres limités et bien encadrés, mais il ne remplace pas les avantages des langages comme Python ou Java pour des applications plus complexes.
Ton contenu est bien écrit. J’aime bien l’esthétique de ton site Web. Par contre, je désapprouve l’idée véhiculée sur la philosophie Unix. Cela relève d’une vision utopiste quelque peu passéiste. L’analogie avec la « clé tubulaire, un tournevis et une pince » est incomplète. Ce n’est pas en raccord avec mon expérience. Nombres d’utilisateurs « Unix » avertis sont reluctant à utiliser le Shell comme langage de programmation ou « boîte à outils ». Cette conception a des limites : maîtriser des utilitaires, créer de nouveaux programmes implémentés dans un autre langage (pour ajouter des commandes ou définir des interfaces), connaître plusieurs concepts inhérents à la conception d’un système d’exploitation et tordre un langage de commandes (le Shell) dans tous les sens pour les plus malchanceux. C’est une vision illustre des choses mais déplorable qui est érigée en mantra et qui contrevient au bon sens.
Je cite cet extrait du GNU Linux magazine n°277, de l’article « Programmation robuste avec Bash ».
« Développer avec Bash ? Impossible, ce n’est pas un véritable langage de programmation ! Et ce genre de scripts sont bien trop fragiles ! » Voilà des idées reçues sur l’un des plus célèbres interpréteurs Shell que nous allons tenter, aujourd’hui, dans cet article, de faire disparaître pour de bon !
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« L’interpréteur Shell a de nombreuses fonctionnalités permettant de le rendre aussi robuste et fiable qu’un programme réalisé à l’aide de soi-disant [langages] plus évolués tels que Python ou Java, il suffit d’en avoir conscience et de les utiliser à bon escient. »
Voici la conclusion de ChatGPT 5 nano :
L’affirmation est trop générale et peut être trompeuse. Le shell peut être robuste dans des cadres limités et bien encadrés, mais il ne remplace pas les avantages des langages comme Python ou Java pour des applications plus complexes.