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    En 2015 j’avais acheté un Raspberry Pi 2B avec l’idée d’en faire un serveur Web. En 2019 j’avais acheté un Raspberry Pi 4B en remplacement de mon ancien ordinateur de travail avec mon budget limité. Je ne me souviens plus à partir de quand, mais à l’origine, on ne pouvait pas démarrer de SE avec un disque branché en USB. Durant cette période, je souhaitais également installer GNU Guix sur le RPi 4. C’est dans ce contexte que j’ai découvert que le projet GNU (avec la GNU FSDG) dissuadait fortement l’usage des appareils courants en limitant la prise en charge du matériel non libre équipé de micrologiciels privateurs. Ces ordinateurs monocartes basés sur l’architecture ARM ont leurs spécificités. Ils sont à la croisée des chemins en terme d’usages. Trop compliqué pour moi. Et difficile à concilier. Cela m’a donné l’impression que chacun avait son domaine de prédilection. En présentant deux objectifs contraires : normaliser un produit pour l’industrie ou rendre un produit accessible pour l’éducation à informatique. Parce que les gens qui utilisaient des Raspberry Pi ce n’était pas vraiment des amateurs en micro-informatique. Du coup, en ayant vu différents usages du RPi, dont certains ne semblent pas si pertinents au niveau fonctionnel, on peut s’interroger du bien-fondé de la démarche qui consiste à ajouter un disque SSD à un RPi, étant donné que ce n’est mentionné nul part dans l’article.