Logo journal du hacker middle
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    Je ne comprends pas cet article, le gars n'a pas de modèle économique, et il le reproche à la “gratuité” d'Internet ???

    Son truc ne vaut peur-être pas la somme qu'il demande tout simplement, combien de milliers de sites de recettes gratuits sur le web ? Pourquoi vouloir faire absolument payer un truc qui se trouve gratuitement ailleurs ?

    Il ferait peut-être mieux d'aller bosser chez Facebook au lieu de faire des amalgames.

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      9,99€/an pour l’offre « Premium » o_O

      Faudrait pas non plus trop prendre les gens pour des gogos.

      1. [Comment removed by author]

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          @Nikaro, je trouve votre réponse ignoblement réductrice. Il existe des centaines de blogs culinaires tenus par des passionné-e-s qui sont gratuits et souvent sans publicité, auto-hébergés. Leur problème est qu'on voit souvent du pillage du contenu (textes, photos) par d'autres sites ou services (500g, EnjoyPhoenix ou des app payantes, tiens tiens) qui tentent de monétiser le travail d'autres, le tout avec l'expression « Si c'est sur internet, c'est que c'est libre de droit ».

          Son business model ne répond pas à une demande du marché :

          • Le secteur éditorial/applicatif des recettes de cuisine est saturé, là où il existe des dizaines de mensuels de cuisine papier et des milliers de références en livre, lesquels sont très lourdement concurrencés par le web.

          • Actuellement, les demandes en recettes de cuisine sont plus sur le format vidéo court. C'est ce qui cartonne : http://www.delish.com et http://www.cookinglight.com ne comportent que des vidéos de 1mn . Pourquoi ? Parce qu'on voit comment faire, les vidéos sont super explicatives, taguées par thèmes, se zappent vite et il y a une communauté monstrueuse autour sur Instagram et ailleurs. Certes, ces services sont payés par la pub et le profilage utilisateur, mais ils disposent d'un levier face auquel un bête service en 3 SMS comme on en faisait en 2003 (je plaide coupable) ne peut pas faire le poids : la vidéo est plus pédagogique et engageante. Regardez vous-même https://twitter.com/tastemade/status/903619026932441088 la vidéo donne envie de faire.

          Bref, ce garçon se plaint, mais a-t-il effectué une vraie étude de marché ? Appliqué les principes de base du lean : avoir les métriques utilisateurs et regarder sa concurrence ? Ben visiblement non.

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            Ouais. Ou bien je n’ai pas envie de payer 9,99€ par an pour des recettes de cuisine. À ce prix là, je m’achète un vrai bouquin.

            Faut pas s’étonner de n’avoir aucun client avec des prix aussi prohibitifs.

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        “Faute d’outils et de connaissances, nous n’arrivions pas à intégrer plus de cuisine saine dans notre vie.”

        Non, tout le monde sait que les frites, les hamburgers et les pizza ce n'est pas bon pour la santé.

        “calculant automatiquement l’empreinte carbone de chacune des recettes”

        Connerie écolo.

        “en vous donnant des conseils utiles sur la manière dont vous vous alimentez”

        Monsieur est diététicien après avoir suivi des études telecom.

        “des recettes courtes (3 étapes max de moins de 140 caractères)”

        Ça s'appelle 3 tweets ou un pouet.

        “Mr M : Se faire une place sur le web, est-ce si facile ?”

        Ce n'est pas sur le web mais sur les AppStores que cherche à exister l'auteur.

        “le développement de ce programme me demande beaucoup de temps et de compétences”

        Va donc sur le web, sur twitter, facebook, là oú sont les gens.

        “je me verse la moitié d’un SMIC, pour 60h de travail par semaine, et ce depuis maintenant plus de 2 ans.”

        Je stoppe ici ma lecture de l'article, parce que, comme disait Jean Yanne, on arrête pas la connerie.

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          Je HAIS cette expression : « Si c'est gratuit, vous êtes le produit ». Elle est réductrice et cause un tort considérable pour arriver à convaincre d'utiliser certains logiciels quand elle sort de la bouche de certaines personnes “avisé-e-s”

          J'ai demandé aux autres orateurs de la Cryptoparty Toulouse de l'éviter car elle revient à blâmer le logiciel libre car il est gratuit.