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Ça commence lentement et après il y a de nombreuses choses essentielles qui sont dites : “On confie donc des outils d’une sophistication totale, à des gens qui ignorent jusqu’à la première syllabe du premier composant, ou du premier procédé. C’est inouï. Et le pire, dans tout ça, c’est qu’on te pousse à l’achat en te faisant miroiter tout un tas de mensonges, comme quoi ça va te faciliter la vie. Alors qu’un ordi, si tu ne sais pas t’en servir, mon gars… À part te pourrir la vie et le compte en banque, ça ne t’apporte pas grand-chose”

“Moi, désormais, je compte sur les David de tous poils. Petits militants volontaires. Qui prônent la reprise en main de l’homme sur ses outils. Et rappellent qu’un progrès n’en est un que quand il s’est offert à tous.”

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    Oui, je suis d'accord avec toi. Je trouve que cet article est un peu écrit à la manière d'un conte, peut-être un poil idéaliste… mais étant un rêveur je ne vais pas critiquer les rêveurs :-)

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      L'article est sympa, et c'est écrit dans un style qu'on voit pas souvent. Ça décrit quand même les libristes comme des sortes de chaman, ou de sorcier.

      Mathias, tu dis que ça désacralise, mais je trouve que ça nous rend tout de même un peu étrange. Je ferai lire cet article à des néophytes pour voir.

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        Plutôt une belle prose.

        Et un monde rural toujours aussi intriguant !

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          J'arrive un peu après la bataille, mais au delà de la recherche, on peut tenter d'utiliser OpenStreetMap au lieu de Google Maps.